BONNES ADRESSES
Des trésors de desserts
Chez Martine Lambert, il n’y a qu’un mot d’ordre : 100% naturel. Les créations lui sont propres et les matières premières proviennent des quatre coins du monde. Les noix de coco sont récoltées aux Philipines, la cannelle au Sri Lanka, les fruits de la passion au Brésil, et les pommes, poires, fraises, mûres, pêches et mirabelles en France. Ce sont les vaches de Normandie qui fournissent, via un fermier local, le lait et la crème nécessaires à la réalisation des desserts. La nougatine, le caramel ou encore les écorces confites d’oranges sont fabriqués directement dans les ateliers du magasin de Deauville.
Martine Lambert fait ses débuts en 1975 avec l’ouverture de sa première boutique à Deauville. Elle revend alors les glaces de « La Sorbetière de Paris ». C’est l’année suivante que Martine crée, avec la turbine installée dans sa salle de bain, son premier sorbet Maracuja. La machine est alors lancée. Depuis, elle à non seulement acquis sa propre boutique à Deauville mais également une à Trouville et dans Paris, au 39 de la rue Cler dans le 7e arrondissement. Les créations glacées artisanales de Martine Lambert sont de véritables trésors gourmets. Les bases de tous les gâteaux sont réalisées en glace ou en sorbet et certains produits mixtes associent les deux : Martine Lambert propose ainsi une large gamme Sorbet & Glace. Afin de préserver toutes leurs vitamines et leurs saveurs, les sorbets ne subissent aucune pasteurisation. Les glaces ont une très forte teneur en fruit qui assure une couleur profonde et un goût savoureux. Colorants, arômes artificiels, gélatine, stabilisants, agents de texture sont bannis des ateliers. Un court moment vous suffira pour lire la composition : fruits, sucre !
Parmi nos préférés : « Le Succulent ». Parole de client: «Mortel !». Trois couches de glaces : praliné noisette, chocolat mousse, caramel au chaudron de cuivre, criblées d’amandes et noisettes torréfiées maison, vendu avec son coulis de chocolat équatorial ; « Le Clafoutis aux Myrtilles » à base de vanille de Tahiti (goût plus pâtissier que la vanille Madagascar) constellé de myrtilles confites maison ; ou encore « l’Omelette Norvégienne », pour une descente en pente douce dans la meringue italienne masquant un coeur de sorbet ou glace au choix… Dé-li-cieux !
Memphis Coffee aux portes
de Paris
Memphis Coffee renforce ses positions aux portes de Paris en ouvrant un troisième restaurant rue de Fontenelle, le Clos du Chêne à Montévrain (Marne-La-Vallée/Montévrain). Cet établissement de 360m² (109 places assises) emploie 26 salariés.
Néons, banquettes bleues et rouges pailletées, juke-box, sol à damier, portes et escaliers inox, cuisine américaine sur fond de rock 'n' roll… Ce réseau de restaurants directement inspirés des "diners" américains des années 50, a été créé à Nîmes en 2009.
Les Memphis Coffee proposent une restauration rapide de qualité, composée essentiellement de produits frais, avec un service à table et une carte comportant hamburgers, sandwiches, tex-mex, salades, tartares, hot-dogs, viandes au grill, omelettes, milk-shake, glaces et pâtisseries américaines… Au total, une soixantaine de plats et six menus (dont un menu ciné et des menus ludiques pour les enfants) sont disponibles. De quoi satisfaire tous les goûts et toutes les envies, que l'on souhaite prendre un repas léger ou s'offrir le nec plus ultra des burgers : le "Crazy Memphis", composé de… 6 steaks hachés !
Le point commun entre les plats ? Une qualité qui repose sur 80% de produits frais (20% de surgelés seulement), des viandes hachées à la demande, les frites les plus légères du marché, des salades croquantes... Les burgers composés de produits frais sont limités en matières grasses, et préparés en cuisine au fil des commandes. Le bœuf est garanti 100% français.
Des gâteaux et du pain
Ni une pâtisserie, ni une boulangerie traditionnelle. Une boutique atypique, un écrin dans lequel se promener et s’approcher des pains aux croûtes dorées, des gâteaux aux textures soyeuses et veloutées et aux couleurs vives. C’est ainsi que Claire Damon et David Granger ont voulu leur boutique au 89 de la rue du Bac, dans le 7e arrondissement de Paris.
Un dégradé subtil et lumineux comme un sfumato en peinture, un mur de glaces pour réfléchir ces mille couleurs offertes aux regards par les croûtes des pains et la vivacité des gâteaux, du noir, de la lumière et du raffinement.
Matières nobles, lignes strictes, atmosphère concentrée qui pousse la création vers l’essentiel, choisit la sobriété, accepte les vides, signe le style. Des gâteaux sensibles, beaux, gourmands. Des gâteaux qui racontent des histoires, des histoires d’amour, des promenades dans la nature, des coups de cœur pour un parfum, un arbre, un voluptueux cachemire... Un gâteau sans cesse retravaillé, réfléchi pour aller vers toujours plus de spontanéité «car la nature est parfaite dit Claire Damon, tout ce qu’on ajoute est en trop». Peu de sucre, peu de farine, peu ou pas d’œuf, les gâteaux de Claire s’appuient sur des accords personnels et une maîtrise technique. Le pain affirme le gout marqué pour les croûtes dorées, fauves, lumineuses, un parfum singulier, des textures denses mais aérées, leur forte personnalité. Outre son goût propre, David Granger fonde celui de ses pains sur des ingrédients toujours identiques et assure sa constance à la précision du travail et au levain naturel qu’il réalise. David crée un goût identifiable, reconnaissable, unique. En quête bien sûr de l’équilibre parfait entre la mie et la croûte, avis aux connaisseurs... Claire Damon et David Granger ont délibérément choisi ce chemin d’exigence pour pratiquer ce métier comme ils le souhaitaient et créer des gourmandises pour le plaisir de tous. Petit plus : des livraisons par coursier sont assurées.
La Fabrique – Cookies… pour les gourmands !
Après avoir satisfait les gourmands de la butte Montmartre avec sa boutique de la rue des Martyrs, La Fabrique - Cookies a installé un 2e point de vente au n°49 de la rue Cler, dans le 7e arrondissement parisien. Cette seconde adresse est pensée comme une véritable échoppe de quartier où l’on vient s’approvisionner en bons produits et discuter avec le commerçant.
La mousse du Brasseur germe au restaurant
L’idée a germé dans l’esprit de Franck Métivier, ancien directeur de restaurants - dont des Relais & Châteaux - en France et en Allemagne: ouvrir à Lorient un restaurant authentique, avec une véritable cuisine et une bière faite sur place. Après quelques années dans le secteur de l’événementiel, Franck a empoigné son rêve et repris ses études pour devenir Maître Brasseur (diplôme de l’Université de la Rochelle). Une distinction qui n’a rien de symbolique quand on découvre la haute technicité de l’unité de brassage que ce passionné à fait installer dans son restaurant : deux cuves de cuivre et cinq autres en inox, le tout relié par des tuyaux de toutes tailles contrôlés par des platines aux clignotants rappelant le tableau de bord du Nautilus de Jules Verne. 4 bières sont désormais proposées aux amateurs et autres curieux : une blonde, une blanche, une brune et une rousse qui changera selon le calendrier.
Côté cuisine, la passion n’est pas en reste avec Michaela Métivier aux commandes. Ici, on parle de restaurant, de cuisine, de recettes et de goût. De nationalité allemande, Michaela n’a pas eu de mal à concocter une carte originale en harmonie avec la bière quand elle ne l’utilise pas comme ingrédient. Bien sûr, on trouve des flammekuches, mais avec du jambon fumé de Forêt Noire, des choucroutes préparées à la bière, des poêles servies à table, encore crépitantes de chaleur, ou encore des plats traditionnels des régions brassicoles tels que la carbonade flamande, plats qui évoluent au fil des semaines et qui apparaîssent sur deux gigantesques tableaux noirs échappés de notre enfance. Car toute la décoration du restaurant / pub Le Brasseur nous emmène hors du temps : de vieux objets bigarrés se laissent contempler du haut d’étagères doucement éclairées et d’authentiques cadres d’antan recèlent des photos en noir et blanc cachant chacune une surprise.
Le restaurant / pub Le Brasseur, c’est un Maître Brasseur et une chef de cuisine, mais c’est aussi une équipe totale d’une demi-douzaine de personnes, tant en cuisine qu’en salle. Une aventure professionnelle et humaine audacieuse, originale et généreuse.
Où stocker mon vin ?
C’est une question habituelle pour les urbains dont les appartements ne comportent pas nécessaire une cave sécurisé. Une question à laquelle peuvent répondre « Les caves des Montquartiers ». Pour beaucoup de citadins, stocker son vin dans un lieu sûr, de bonne composition est quasi mission impossible. S'adressant aux particuliers et aux professionnels, les Caves des Montquartiers proposent de stocker son vin dans des modules individuels, des espaces privatifs ou privilèges, et ce avec souplesse grâce à i-Cave, un logiciel de Caves Explorer qui propose en outre une gestion interactive des vins à distance.
Chaque élément (bouteille ou caisse), déposé dans un espace dédié et privé, est immédiatement codifié grâce à la technologie RFID. Ainsi le passionné de vin peut consulter à tout moment sur son ordinateur ou son smartphone le contenu et les mouvements de son stock. Il peut aussi prévenir d’une livraison de vin aux Caves ou demander de préparer du vin pour enlèvement ou livraison. Des experts en manutention prennent soin de gérer et manipuler les bouteilles avec la plus grande attention. Situées dans d'anciennes carrières de craie à Issy les Moulineaux (92), les Caves de Montquartiers offrent une solution intéressante aux amateurs de vin.
Fondée en 2011, La Fabrique - Cookies créée des cookies préparés de façon artisanale à base de produits frais d’origine française. Chaque recette est imaginée à partir des spécialités régionales françaises : le calisson d’Aix-En-Provence, la praline rose de Valence, le caramel au beurre salé de Guérande ou encore le nougat de Montélimar... Aujourd'hui La Fabrique - Cookies propose 17 recettes de cookies différentes, cuits directement sur place. La Fabrique - Cookies permet également de commander ses cookies en ligne. D’un simple clic la possibilité de mettre dans son panier une boîte dégustation pour faire plaisir à ses proches ou combler une fringale sucrée. 3h plus tard livré à Paris et en banlieue proche, le péché gourmand est arrivé et prêt à être dégusté.
En Bretagne… apprenez à faire de vraies crêpes !
Monique tient la crêperie Fleur de Blé noir, à Saint-Quay-Portrieux (22). Pour dynamiser l’image de la crèpe bretonne, elle propose une petite leçon sur le traditionnel billig ! Objectif : parfaire son tour de main et révéler le crêpier qui sommeille en chacun de nous... Donc, direction la crêperie Fleur de Blé noir et ses billigs. Kezako le billig ? C’est une large plaque circulaire en fonte sur laquelle on étale - à l’aide d’ un petit râteau en bois appelé Rozell- la pâte à crêpe pour la cuisson. Cette initiation ouverte à tous est évidemment suivie d’une dégustation de crêpes ! A partir de 28€ par personne. Contact : 02 96 70 40 64.
Petite virée en Bretagne et sélection de crêperies insolites
Lassé des crêperies traditionnelles ? La Bretagne regorge d’établissements insolites pour redécouvrir les crêpes. A Rennes, la carte de la crêperie Saint-Georges marie crêpes et gastronomie fine, avec toutes ses galettes appelées Georges : Moustaki, Clooney, Sand, ou Bush… Le tout dans une ambiance déco design.
Pour une situation insolite, la crêperie du Château d’Eau à Ploudalmezeau (29) offre une vue panoramique à 50m de hauteur !
A Dinan, on trouve parmi les recettes les plus originales, une crêpe aux algues fraîches à l’Artbilig.
Ambiance corsaire sur les remparts de Saint-Malo grâce à la décoration et les costumes du personnel, à la crêperie du Corps de garde. Enfin, pour le must d’une ambiance atypique, rendez-vous à la crêperie Aux Galettes d’Antan à Pluneret (56), où l’on plonge en 1900 avec chandeliers, dentelles et costumes d’époque… kitchisssime !